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Emmanuel Strosser

Merci à Emmanuel Strosser d'avoir répondu aux questions de pianobleu.com pour la réalisation de cette page.

Biographie commentée

Emmanuel Strosser est né le 4 mai 1965 à Strasbourg dans une famille très mélomane : "Mes grands-parents faisaient de la musique en amateurs, comme dans beaucoup de famille à l'époque en Alsace où la pratique de la musique était courante. Nous chantions également dans toutes nos fêtes
familiales... Tout ça dans un milieu vraiment très simple. Mon père est metteur en scène d'opéra, ce qui m'a permis de naître avec la musique et le chant, une grande chance pour moi. J'ai toujours été baigné par la musique.
"
Un heureux hasard l'a fait découvrir le piano : "Je voulais faire du violoncelle... J'ai commencé par un peu de piano et je n'ai pas arrêté depuis ! Sans regret en fait. Le piano est un instrument relativement neutre mais qui permet de découvrir la musique de la manière la plus large possible. Parfois c'est même un peu impressionnant tant le répertoire et les possibilités sont sans limites. "
Il prend ses premières leçons à l'âge de six ans au conservatoire de Strasbourg avec une dame "assez extraordinaire" : Hélène Boschi qui lui donne plusieurs cours par semaine : "C'est une dame qui m'a appris la passion de la musique avant celle du piano. Je le regrette parfois mais en même temps n'est-ce pas ce qu'il y a de plus important quand on est enfant ? Et puis elle donnait énormément d'elle-même."
A l'âge de 19 ans, Emmanuel Strosser entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il suit l'enseignement de Jean-Claude Pennetier (piano) et Christian Ivaldi (musique de chambre) : "J'ai été très content en fait d'y rentrer à cet âge. J'ai profité pleinement de cette institution qui m'a tant apporté et que je n'ai en fait jamais quittée ! Mes professeurs ont été pour moi essentiels. J'ai tant appris avec eux et je leur dois tant que ce serait trop long à exprimer. Disons simplement que jamais je n'ai eu l'impression de toucher d'aussi près le mystère et la richesse de la musique que pendant mes cours avec Jean-Claude Pennetier. Nous restions d'ailleurs tous les élèves pendant tous ces cours ce qui est très rare. Je pense que l'on sentait bien que nous vivions des moments rares et qu'il fallait en profiter pleinement. Avec Christian j'ai étudié le déchiffrage et la musique de chambre. Il est un exemple pour moi de passion pour la musique et d'éclectisme. Je ne connais personne qui a une telle soif de découverte et une telle ouverture d'esprit. Probablement le secret de son éternelle jeunesse ! Ceci associé à une rigueur et une probité dans le travail qu'il ne faudrait jamais oublier. Deux personnalités uniques que j'ai la chance d'avoir eu comme professeurs et que j'ai la chance maintenant d'avoir comme amis."
Il est couronné, dans ces deux disciplines, par des premiers prix à l'unanimité avant d'entrer en cycle de perfectionnement où il suit les cours de Leon Fleisher, Dimitri Bashkirov et Maria Joao Pires.
Devenir pianiste s'est naturellement imposé à Emmanuel Strosser qui confie avoir été pour ce qui concerne les autres enseignements..." une honte pour tous mes professeurs à l'école je pense ! Une catastrophe ! En fait je n'ai jamais "décidé" de devenir pianiste mais je n'ai jamais eu envie de faire autre chose non plus. C'est une grande chance pour moi de n'avoir jamais eu le vide et l'angoisse de "que vais-je faire plus tard ? ".
Lauréat du concours international de musique de chambre de Florence, Emmanuel Strosser est aussi finaliste, en 1991, du concours Clara Haskil et joue ainsi avec l'Orchestre de Chambre de Lausanne. " Je n'ai pas beaucoup de souvenirs de ces moments là ...Je ne suis pas trop fait pour les concours je pense. Et ce n'est pas une coquetterie de le dire, je le pense sincèrement. Il faut un côté "battant" "gagneur" qui m'est totalement étranger et qui me manque souvent. Ce sont des qualités dans ce métier que je n'ai pas. Par contre je serais la dernière personne à dire que ça ne sert à rien . Ce serait totalement stupide . Et je connais beaucoup de grands artistes qui se sont fait connaître grâce aux concours".
Emmanuel Strosser se produit régulièrement en soliste, en récital ou avec orchestre (Philharmonique de Radio-France, Ensemble Orchestral de Paris, Orchestre de Picardie, Orchestre de Chambre de Toulouse, Orchestre de Lille, Orchestre de Montpellier ...). Il est aussi invité dans les plus prestigieux festivals comme le Festival de l'Epau, de Sceaux, la Roque d'Anthéron, le Festival de Prades, de Kuhmo...Outre les concerts en Europe, Emmanuel Strosser s'est produit au Mexique, en Amérique du Sud, au Japon, en Corée, à Washington...
De cette expérience il confie que le Japon est le lieu idéal pour faire ce métier : "Le public y est très respectueux, la qualité des salles et des pianos inimaginables ailleurs. " Mais Emmanuel Strosser confie aussi qu'il n'aurait rien contre jouer plus souvent près de chez lui et ne pas avoir d'envie particulière de jouer dans d'autres pays : "Je ne suis pas un grand aventurier. Je voyage plus par nécessité que par plaisir , et si je ne jouais que dans mon arrondissement parisien, ça ne me dérangerait pas ! Donc je n'ai pas de manque particulier à ce niveau là. Je voyage bien suffisamment ! "
Son meilleur souvenir de concert..." Ce n'est pas un concert mais un projet : l'intégrale des sonates de Beethoven par six pianistes initié par René Martin. J'en garde un souvenir musical et peut-être plus encore humain extraordinaire. J'ai adoré partager cette aventure avec l'esprit d'une troupe de théâtre. Aventure essentielle pour nous autres pianistes qui sommes si souvent totalement égocentriques." Quant aux concerts à venir qui lui tiennent le plus à coeur : "Encore le partage. L'intégrale des quatre mains de Schubert que je joue avec Claire Désert et que nous partageons avec Christian Ivaldi et Jean-Claude Pennetier ".
Emmanuel Strosser a participé à de nombreux enregistrements, tous salués par la critique, notamment son disque consacré à Mozart, paru sous le label Harmonia Mundi. Il a enregistré les Mélodies de Debussy avec Véronique Dietschy, ainsi que les deux quintettes de Fauré avec le Quatuor Rosamonde. Ces dernières années sont parues chez Assaï les trois sonates de l'op.10 de Beethoven ainsi que la Ballade et la Fantaisie de Gabriel Fauré avec l'Orchestre de Picardie, sous la direction d'Edmon Colomer. Il a plus récemment enregistré les sonates de Fauré et de Debussy pour violon et piano avec le violoniste Régis Pasquier. Il vient d'enregistrer un disque d'oeuvres de Schubert(voir plus bas).
Emmanuel Strosser est, par ailleurs, assistant de la classe d'Alain Planès au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris :" C'est une activité qui m'apporte énormément. J'ai cinq élèves d'un excellent niveau qui m'obligent chaque semaine à me remettre en question. J'apprends beaucoup grâce à eux. Et j'espère leur donner un peu aussi !"

Son répertoire, son interprétation...

Pour Emmanuel Strosser, dont est sorti en février 2008 un disque comportant la dernière sonate et trois Klavierstüke de Schubert, ce compositeur est confie-t-il : "tout simplement le compositeur le plus proche de mon coeur. Et depuis que je suis enfant. Peut-être par tradition familiale où on l'écoutait beaucoup. J'admire sa profondeur, sa pureté, son désespoir parfois, tout ça avec une grande économie de moyens qui est extraordinaire. C'est peut-être le compositeur le plus éloigné de l'esbroufe , du pathos . Il arrive à nous dire tant de choses avec presque rien que ça en devient bouleversant. Et particulièrement dans sa dernière sonate. J'espère bien enregistrer pour Mirare les quatre mains avec Claire plus tard !".
Quant à ces autres compositeurs de prédilection : "Rien de très original....Mozart, Beethoven, Schumann, Brahms, Debussy , Wagner. Plutôt des compositeurs d'Outre Rhin. Ma culture musicale de par ma naissance à Strasbourg et par ma famille est surtout germanique ".
A la question de savoir s'il préfère donner des récitals seul, en musique de chambre ou avec orchestre Emmanuel Strosser répond :"Le récital c'est l'inconnu, le grand saut, le vide. Ce qu'il y a de plus difficile assurément . C'est aussi le moment où les émotions musicales peuvent être les plus intenses. La musique de chambre, c'est ce que je garderais si je devais choisir. J'aime et j'ai besoin de partager la musique. Et les musiciens me donnent beaucoup. J'aurais beaucoup de mal à ne jouer que seul en récital. Le concerto est un plaisir un peu plus égocentrique , qui peut être agréable , mais qui est souvent une juxtaposition de compromis entre un soliste, un chef, un orchestre et très peu de temps pour répéter ! "
Emmanuel Strosser est effectivement passionné de musique de chambre et la connivence entretenue avec ses partenaires de musique de chambre, sa compréhension des textes en font un interprète recherché par ses pairs : Claire Désert, Christian Ivaldi, Jean-François Heisser, Régis Pasquier, Raphaël Oleg, Vladimir Mendelssohn, François Leleux, le Quatuor Prazak, le Quatuor Artis..."il n'y a rien de plus enrichissant pour moi que de partager l'expérience et de "profiter" de la richesse de mes collègues. Si l'on me trouve des qualités , je les dois beaucoup à tous les musiciens avec qui j'ai partagé la musique et la scène."
Emmanuel Strosser recherche dans son interprétation le naturel et pour cela "travaille de manière artisanale et très peu intellectuelle. Et avec très peu de certitudes aussi ce qui n'est pas toujours évident. Mon interprétation vient à moi petit à petit et peut changer beaucoup. Je ne suis pas un "fou" du texte par exemple. Il y a pour moi autant d'interprétations que d'interprètes. Tout ou presque est possible, c'est ce qui fait la richesse de ce métier de musicien. "
Emmanuel Strosser a nombreux autres centres d'intérêts : "J'aime beaucoup de choses aussi différentes que le cinéma, le sport, la politique, la cuisine , Paris etc... Je ne me demande jamais si telle ou telle chose est utile ou non. Je fonctionne au désir plus qu'à ¨l'utilité¨de telle ou telle activité". Quant à sa passion pour la musique de style "classique", elle est depuis toujours quasi-exclusive : " Je n'écoute que de la musique classique, à part un peu de jazz, un peu de musique traditionnelle ou de la pop style Janis Joplin ou Jimi Hendrix et un peu de chanson française déjà classique comme Brel, Nougaro, Barbara par exemple . Bien sur que c'est utile d'écouter beaucoup de musique, ce que je fais un peu moins maintenant d'ailleurs. Mais quand j'étais jeune, à partir de quatorze ans et avant peut être, j'écoutais, je dévorais la musique classique , et pas que du piano, loin de là.. Beaucoup d'opéra, de quatuor, de chant etc.. Tout ce que je pouvais écouter je l'écoutais. Par envie tout simplement, ce n'était pas une corvée ".

Écouter...

Franz Schubert (1797-1828)

Piano à quatre mains

Claire Désert, Emmanuel Strosser

L'année 2015 a été riche en disques de duos de pianistes, voici à découvrir ce nouveau disque, qui paraît sous le label Mirare, comportant une sélection d'oeuvres de Franz Schubert, connues et moins connues, toutes pour piano à quatre mains, jouées par le sympathique duo de pianistes Claire Désert et Emmanuel Strosser, un duo qui a la "particularité" d'avoir déjà enregistré plusieurs disques ensemble, il faut dire que voilà plus de vingt ans que " dans un coude à coude fusionnel" ils explorent l'univers si "singulier" du piano à quatre mains, il n'est pas impossible que vous ayez eu l'occasion de les écouter lors d'un de leurs multiples concerts... Cet album, espéré depuis plusieurs années comme vous pourrez le lire ci-dessous, vient à point donc pour ce très bel anniversaire !cliquez ici pour lire la suite et écouter un extrait.
Paru en février 2013
L'enfance
Fauré, Bizet, Debussy, Ravel
Claire Désert, piano
Emmanuel Strosser, piano

Chacun avec son style propre et ses couleurs particulières, Bizet, Fauré, Debussy et Ravel ont su porter un regard émerveillé sur le monde de l’enfance. Dans leurs œuvres pour piano à quatre mains dédiées à l’univers enfantin, qui sont bien autre chose que de simples pièces de salon, ils transportent l‘auditeur dans le pays du rêve tendre, voluptueux, touchant et vrai. cliquez sur l'image pour en écouter des extraits ety/ou vous le procurer
A écouter un extrait du nouveau disque du pianiste Emmanuel Strosser qui d'habitude défend plutôt les oeuvres des compositeurs d'Outre Rhin mais cette fois a choisi un compositeur français avec lequel il partage le même prénom : Emmanuel Chabrier, compositeur français né en auvergne en 1841, et prématurément disparu en 1894, des suites d'une maladie neurologiquequi , dans les derniers mois de sa vie le priva de ses facultés. Il a été longtemps considéré comme un artiste mineur mais amusant, dont l'originalité ne laissait pas de surprendre. Emmanuel Chabrier manifestra très tôt des dons pour le piano et l'étudia en même temps que le droit. Il sera d'ailleurs au ministère de l'intérieur de 1861 à 1880 date après llaquelle il s'est plus consacré à la musique.
"Toutes les œuvres choisies sur ce disque se situent parmi les joyaux de la musique française pour piano. Admiré par Debussy et Franck, Chabrier fait montre d’un retour à la simplicité mélodique et à l’éloquence directe, reliant ainsi la composition du XIXe avec la tradition du baroque français. Comme souvent chez lui, il a manifestement pensé ces pièces pour orchestre, en témoignent les formidables contrastes de couleurs et la mobilité de l’harmonie." ... ainsi autour de deux recueils "Pièces pittoresques" et "Pièces posthumes" une de ses premières pièces importantes aux 'harmonies audacieuses révélant vraiment la personnalité du musicien : "Impromptu" composée en 1873 pour Madame Edouard Manet, excellente pianiste et qui fut créé Camille Saint Saens à Paris le 17 janvier 1877 où rythme de valse et tournures ibériques y virevoltent. Une autre pièce isolée, composée à l'autre extrémité de sa vie est également particulièrement remarquable : Bourrée fantasque, le dédicataire, un jeune pianiste de 18 ans, Edouard Risler, futur maître d'Alfred Cortot reçu cette consigne dans sa dédicace :" Je vous ai fabriqué un petit morceau de piano que je crois assez amusant et dans lequel j'ai compté 113 sonorités différentes. C'est vous dire si vous allez me décrotter ça lumineusement ! Il faudra que ce soit imbécile ou fou"... Fréquentant souvent les scènes de "la folle journée" le pianiste Emmanuel Strosser fait splendidement éclater toutes les couleurs orchestrales de ce divertissement dont Poulenc dira que Chabrier innovait ici dans le domaine pianistique "autant que les études de Debussy, ou de Gaspard de la nuit de Ravel"...ce n'est pas peu dire !
Utilisez le lecteur ci-dessous pour écouter cette "bourrée fantasque" et pour vous procurer le disque cliquez sur l'image ci-dessus.

Pour découvrir d'autres extraits...utilisez ce "widget" en espérant que son contenu n'évoluera pas au fil du temps , amazon semblant coutumier du fait...

Francis Poulenc
Sextuor
Trio
Aubade
Suite française

Quintette à vent Moraguès
Emmanuel Strosser

A la question de savoir s'il préfère donner des récitals seul, en musique de chambre ou avec orchestre le pianiste Emmanuel Strosser répondait récemment pour pianobleu.com :"Le récital c'est l'inconnu, le grand saut, le vide. Ce qu'il y a de plus difficile assurément . C'est aussi le moment où les émotions musicales peuvent être les plus intenses. La musique de chambre, c'est ce que je garderais si je devais choisir. J'aime et j'ai besoin de partager la musique. Et les musiciens me donnent beaucoup. J'aurais beaucoup de mal à ne jouer que seul en récital. Le concerto est un plaisir un peu plus égocentrique , qui peut être agréable , mais qui est souvent une juxtaposition de compromis entre un soliste, un chef, un orchestre et très peu de temps pour répéter ! " , ainsi ce disque qui sort actuellement permet de mesurer effectivement sa complicité avec d'autres musiciens comme en l'ocurrence le remarquable Quintette à vent Moraguès qui au début de sa carrière a eu l'honneur de jouer avec le pianiste de lègende Sviatoslav Richter avec lequel il enregistra en direct au musée Pouchkine de Moscou un disque Beethoven. Ce programme d'oeuvres de Francis Poulenc(1899-1963) est plutôt idéal pour partager le plaisir de jouer avec des musiciens : le sextuor qui débute cet enregistrement est particulièrement gai et varié avec un passage poétique, et chaque instrument à vent à matière à s'exprimer différemment tout comme le piano ...cliquez ici pour lire la suite

Franz Schubert
Sonate pour piano n°23 en si bémol majeur D.960
Trois Klavierstüke D.946
Emmanuel Strosser, piano

Considérée comme sa "Sonate d'adieu", Schubert a achevé d'écrire la vingt-troisième Sonate le 26 septembre 1828, deux mois avant sa mort, seulement âgé de 31 ans. Cette dernière année de sa vie fut l'une des plus riches : il écrivit pour le piano trois sonates reconnues comme les plus réussies, la Fantaisie pour quatre mains D940 et les trois Klavierstüke que le pianiste Emmanuel Strosser a enregistrés conjointement avec la dernière sonate pour ce disque du compositeur qui lui est "le plus proche de son coeur" selon ses propos recueillis à l'occasion de la sortie de ce disque.
Comme dans chacune de ses trois dernières sonates composées non seulement la même année mais aussi le même mois c'est particulièrement le second mouvement qui en est bouleversant...cliquez ici pour lire la suite

Antonín Dvorák
Danses Slaves
Claire Désert et Emmanuel Strosser

Complices depuis toujours sur scène comme dans la vie, Claire Désert et Emmanuel Strösser ont enregistré en "Live" pour la première fois un programme à quatre mains, lors de la Folle journée de Nantes 2007 : les Danses Slaves de Antonín Dvorák, opus 46 et 72. C'est un programme qu'ils affectionnent tout particulièrement et qu'ils jouent en duo depuis de nombreuses années, et cela s'entend dans leur interprétation pleine de contrastes et très enjouée.
Ces oeuvres figurent parmi les pages qui ont assuré à Antonin Dvorak (1841-1901) une large part de sa notoriété. En 1869, Brahms avait publié chez l'éditeur Simrock deux cahiers de Danses hongroises « arrangées » pour le piano à quatre mains. L'immense succès remporté dès leur publication par les deux premières collections de Brahms encouragea l'éditeur allemand à demander à Dvorák de composer des pièces analogues afin de constituer en quelque sorte le « double » slave des danses de Brahms....cliquez ici pour lire la suite et en écouter un extrait

Pour découvrir et écouter les autres disques interprétés par Emmanuel Strosser...cliquez ici

 


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