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Hommage à Debussy Juliana Steinbach PIANO

Hommage à Debussy

Claude Debussy( 1862-1918)

Valse Romantique
Rêverie
Mazurka
Suite bergamasque
Pour le piano
Images - Série 1 et Série 2
Valse - La plus que lente

Juliana Steinbach, piano

Dans le cadre de l'année Debussy, la firme des pianos Blüthner a souhaité rendre un hommage à ce compositeur en demandant à quatre jeunes concertistes, lauréats de la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig, l'enregistrement de l'intégrale de son oeuvre pour piano. Ces quatre artistes élus pour participer au projet Debussy proviennent de quatre écoles et d'horizons géographiques les plus différents qui soient.
C'est la pianiste Juliana Steinbach, d'origine brésilienne, qui inaugure cette série, une pianiste qui a déjà pu se faire connaître en France pour diverses raisons puisque elle est la fondatrice et directrice artistique du festival "Musique en Brionnais" et a eu une carte blanche pour organiser des cycles de concerts des "Saisons Blüthner " à Paris et Lyon et c'est en France qu'elle a suivi ses études de piano : au Conservatoire de Paris (CNSMP) dans les classes de Bruno Rigutto et Pierre-Laurent Aimard ; elle y a obtenu les Premiers Prix de piano et musique de chambre et a été admise en 2002 à l'unanimité en Troisième Cycle de piano dans la classe de Jacques Rouvier. Après ses études en France Elle a reçu également les conseils de nombreux autres pianistes ainsi ceux de Maria João Pires.(voir sa biographie complète plus bas)

Bien sûr ce n'est pas sans raison particulière que la firme Blüthner, fondée à Leipzig en 1853, tient à rendre cet hommage au compositeur né il y a 150 ans, ainsi découvrez plus bas dans cette page l'histoire d'un piano ayant appartenu à Claude Debussy, suite à son séjour à Jersey en 1905, et dont il fut "tellement ravi du piano qu'il ne s'en sépara plus jamais ", ce piano est actuellement conservé par le musée de Brives la Gaillarde mais l'instrument original, ne pouvant être utilisé c'est sur un piano à queue moderne qu'il a été réalisé, un piano dont le caractère de la sonorité s'approche néanmoins le plus possible de l'original cependant l'objectif n'est pas de proposer un enregistrement à caractère historique mais de montrer comment résonnent aujourd'hui les oeuvres de Debussy sur "un instrument répondant toutefois au goût et au penchant musical du compositeur".
Voilà pour ce qui est de l'éloge du piano utilisé pour cet enregistrement, éloge revient aussi à la pianiste Juliana Steinbach : ce n'est sans doute pas non plus un hasard si cette pianiste a été choisi pour rendre cet hommage, outre le fait qu'elle soit lauréate de la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig, et a eu multiples autres récompenses, son précédent disque comportait déjà le cycle "Estampes" et "Isle joyeuse" écrits par Debussy à côté des" Tableaux d'une exposition" de Moussorgski, un répertoire qui lui tint donc à coeur. Le programme de ce nouveau disque comporte des compositions écrites par Debussy entre 1890 et 1910, soit avant et après que celui-ci ait eu ce piano et parmi elles les deux séries "Images" qu'elle a choisies sont d'ailleurs la suite logique des "Estampes", et elle confirme son talent dans ce répertoire difficile qui demande une bonne maîtrise de la pédale, son jeu s'avère clair et dynamique.

Mais bien sûr ces éloges reviennent aussi au compositeur, car c'est bien avant tout à lui qu'il est question de rendre un ... "Hommage à Debussy" .
Un compositeur qui s'est montré non dénué d'humour mais aussi parfois très perfectionniste, ainsi pour ce qui concerne, la "Suite bergamasque", composée en 1890, il la remania avant qu'elle ne paraisse en 1905 : "Des épreuves conservées de cette publication montrent à quel point Debussy crayonna, ajoutant contrepoints et couleur modale, et élaguant un matériel devenu superflu tout en veillant à garder l'essence de la composition initiale".
C'est aussi en 1905 qu'il termina la première série "Images" : "Jusque-là, Debussy les avait retravaillées et fignolées sans relâche. Durant l'été 1905, toujours mécontent des Reflets dans l'eau( première pièce de la série 1) , il les déchira et les remplaça en l'espace d'une semaine par la version que nous connaissons aujourd'hui, composée au cours de ses vacances à Eastbourne. C'est exactement là et à ce moment que Debussy découvrit le piano à queue de Blüthner, qui allait devenir son compagnon musical pour le restant de sa vie, et dont le caractère a influencé de manière audible ses compositions ultérieures pour le piano. « Un petit cercle dans l'eau... un petit caillou qui tombe dedans », était le conseil que Debussy donna à la pianiste Marguerite Long pour jouer le motif de trois notes ouvrant les Reflets dans l'eau. La fin du morceau reproduit des sonorités semblables à celles de cloches et d'un gong, révélatrices la passion de Debussy pour le gamelan javanais. L"'Hommage à Rameau", au rythme lent de sarabande, est un hommage au maître classique français qui avait vécu deux cents ans auparavant et dont la musique avait enchanté Debussy à l'occasion de quelques renaissances célèbres en 1903. "Mouvement", une saltarelle rondement menée, nous taquine avec des répétitions des quatre premières notes du choral grégorien Dies Irae, puis avec un segment central dramatique qui se tourne vers la clé de si sans jamais l'atteindre. Le morceau se termine mystérieusement sur des tons entiers qui évincent presque sa tonalité principale en do majeur. Il est possible que l'inspiration de ce morceau doit quelque chose à la mélodie Tournoiement de Saint-Saëns, datant de l'année 1870, qui révèle une ambiance et une forme similaires"....c'est précisément ce troisième "Mouvement" que vous pourrez écouter plus bas dans cette page.
Présentation de l'éditeur :
La pianiste d'origine brésilienne Juliana Steinbach signe avec cet "Hommage à Debussy" son deuxième récital au disque, après un album "Tableaux" consacré à Debussy (Estampes, L'Isle Joyeuse) et Moussorgski (Tableaux d'une Exposition), publié en 2010 par Paraty.
Ce disque comprend trois grands cycles du compositeur (Suite Bergamasque, Pour le Piano, Images I & II), encadrés par quelques oeuvres isolées (Valse Romantique, Rêverie, Mazurka, La plus que lente). Leur composition s'étend de 1890 à 1910, depuis les années de jeunesse de Debussy jusqu'à ses réalisations de pleine maturité.
Plusieurs de ces oeuvres ont été composées sur le piano à queue Blüthner que Debussy acquit à Eastbourne pendant son séjour avec Emma Bardac en 1905 - un instrument au touché que le compositeur qualifiait d'"extraordinaire", équipé du système breveté "Aliquot", une quatrième corde qui vibre par sympathie, capture les harmoniques et enrichit la sonorité du piano. A l'occasion du cent-cinquantième anniversaire de la naissance de Claude Debussy en 2012, la firme Blüthner a souhaité rendre hommage à ce compositeur qui lui est cher, en confiant à quatre brillants concertistes, tous lauréats de la Fondation Alfred Reinhold de Leipzig, l'enregistrement de l'intégrale de son oeuvre pour piano. Le disque de Juliana Steinbach en constitue le premier volume, les trois suivants paraîtront successivement au cours de l'année 2012.
Depuis sa création à Leipzig en 2002, le label allemand Genuin classics offre à de grands interprètes - et tout particulièrement ceux de la nouvelle génération - la possibilité de faire de la musique selon leurs propres idéaux. Le catalogue, riche de plus de deux cents publications, comprend notamment des enregistrements de Paul Badura-Skoda, Nicolas Altstaedt et l'Orchestre Philharmonique de Dresden.
Le piano Blüthner de Debussy
"Dans la France de la fin du XIXe siècle, autant la scène des salles de concert que les salons de musique privés étaient accaparés par les instruments des célèbres facteurs de pianos Érard et Pleyel. Si l'on joue aujourd'hui sur un instrument bien conservé de cette époque, on est impressionné par le caractère sonore à la fois rond, chaud et délicat qui émane d'un tel piano.
C'est à peine si, à cette époque, d'autres instruments européens parvinrent à pénétrer dans ce bastion français : on pourrait presque parler d'une culture nationale du son typiquement française. C'est pour ce monde sonore bien particulier que la plupart des compositeurs français écrivirent leurs oeuvres, tout comme Debussy, qui donnait lui aussi la préférence à ces pianos. Toutefois, lorsqu'en 1905, il alla passer ses vacances d'été à Eastbourne, en Angleterre, il découvrit un piano à queue Blüthner chez un marchand local, Hermitage & Sons, dont il s'éprit aussitôt.
Julius Blüthner avait fondé sa manufacture en 1853 à Leipzig. Outre la distribution florissante de ses instruments en Allemagne, il exporta également un nombre considérable de pianos en Angleterre, fondant pour finir en 1876 une agence chargée d'organiser la distribution dans tout le pays. Parmi les vendeurs chez qui ses instruments étaient représentés dans différentes villes anglaises, figurait la maison Hermitage & Sons, une firme importante qui tenait des magasins sur la côte sud de l'Angleterre. Selon les documents originaux qui ont survécu, l'instrument n° 65614 fut envoyé de Leipzig aux îles britanniques en 1904, et vendu à Debussy durant l'été 1905 pour la somme de 89 guinées.
Le Blüthner n° 65614 de Debussy a été fabriqué en 1903 dans la manufacture Julius Blüthner de Leipzig. D'une longueur de 190 centimètres, il possède une tessiture de 7 octaves 1/4. L'instrument est pourvu du système spécial de cordes connu sous le nom de « système aliquote », qui consiste en une quatrième corde pour chaque note, placée en déchant et ne vibrant pas sous l'effet du marteau, mais par sympathie. Cela renforce la résonance des notes harmoniques et élargit le spectre sonore. Le système, sous une forme légèrement modifiée, est encore aujourd'hui en usage sur les pianos Blüthner. L'apparence de l'instrument est celle, courante, des pianos du début du XXe siècle : il est muni de pieds tournés, le placage est en palissandre, la version favorite à cette époque en Angleterre. Le mécanisme mérite également qu'on s'y attarde. C'est une variante d'un mécanisme anglais développée par Blüthner, réputé pour sa robustesse car il ne possède que trois axes, en comparaison du mécanisme bien plus compliqué d'Érard, qui en comporte cinq. Le toucher est léger et permet aussi une répétition rapide, ce qui est d'une absolue nécessité dans la musique pour le piano de Debussy.
Le compositeur français était tellement ravi du piano qu'il ne s'en sépara plus jamais. Après avoir utilisé l'instrument lors de l'été passé à Jersey, il le fit transporter à Paris pour l'installer dans son salon. Il est fort probable que dès lors, Debussy ait conçu toutes ses oeuvres avec, en tête, les qualités du Blüthner, et que leur création « domestique » ait résonné sur cet instrument.
À la mort de Claude Debussy en 1918, l'instrument entra par le biais de sa femme, Emma Bardac, en possession du fils de cette dernière, Raoul Bardac, qui avait été un élève estimé de Debussy.
Les aléas de la Deuxième Guerre mondiale menèrent la famille Bardac dans la zone libre du sud de la France, où elle s'établit en Corrèze, dans le petit village de Meyssac. Raoul Bardac utilisa le piano lors de concerts publics, auxquels la population locale assistait volontiers et prisait énor-mément. À la mort de Bardac en 1950, cette tradition se perdit. Lorsque sa femme décéda à son tour, sans descendance, le piano passa en possession du médecin de famille. Il fut ensuite proposé à la vente par un antiquaire de la région.

Fort heureusement, la fière histoire du piano était restée bien vivante et le Musée Labenche de Brive-la-Gaillarde entreprit les démarches nécessaires. Grâce au soutien financier de la direction des Musées Nationaux, le musée réunit les fonds pour acquérir l'instrument. Malgré son âge, il était toujours en bon état, si bien qu'après une restauration scrupuleuse épargnant tout le matériau d'origine, le timbre qui était si cher à Claude Debussy put résonner de nouveau. Le piano est ainsi devenu un témoignage précieux des intentions musicales du compositeur, un modèle à même de nous inspirer en jouant des instruments plus modernes.

Recréer le son original du Blüthner de Debussy fut un véritable défi. Lors du choix du piano destiné à l'enregistrement des CD, il a tout d'abord fallu partir du principe que l'instrument original, pour des raisons d'ordre muséal, ne pourrait être utilisé. Le choix s'est donc porté sur un piano à queue moderne, dont le caractère de la sonorité s'approche néanmoins le plus possible de l'original. Les méthodes de fabrication des instruments Blüthner étant aujourd'hui encore en grande partie les mêmes, elles assurent un haut degré d'authenticité. Le caractère de la sonorité du piano de Debussy a été finement ajusté grâce à un traitement destiné à changer la densité des différentes couches de feutre recouvrant les têtes des marteaux. Selon leur dureté et la vitesse à laquelle elles frappent ainsi la corde, le spectre sonore partiel qui est produit confère sa couleur au son.

Les enregistrements ne sont pas conçus comme une reproduction historique des oeuvres pour piano de Debussy. Ils doivent plutôt montrer comment elles résonnent aujourd'hui, sur un instrument répondant toutefois au goût et au penchant musical du compositeur. Ainsi, les habitudes auditives d'un amateur moderne de musique ne seront pas maltraitées par l'historicisme, et l'on demeure dans le monde sonore familier de notre époque. Il faut cependant faire remarquer que le monde sonore d'aujourd'hui ne se restreint pas à une poignée de régions. Les oeuvres de Debussy ont été interprétées et explorées par des musiciens du monde entier.
Les quatre artistes élus pour participer au projet Debussy proviennent de quatre écoles et d'horizons géographiques les plus différents qui soient. Ils incarnent de la meilleure façon possible la culture musicale internationale actuelle. Juliana Steinbach, aux racines brésiliennes, a été élève du Conservatoire Supérieur National de Musique de Paris et représente dans son interprétation l'école musicale française; Chenyin Li, diplômée de la Guilthall School of Music de Londres, représente la tradition anglaise au-delà de ses origines chinoises; Julia Dahlkvist, quant à elle, représente la tradition musicale russo-finnoise et pour finir, Amir Tebenikhin qui, outre ses racines kazhakes, représente l'école allemande à Hanovre.
JULIANA STEINBACH
Biographie
Née au Brésil en 1979, Juliana Steinbach a entamé ses études musicales en France. Après ses premières années de formation au Conservatoire de Lyon (CNR) et auprès de la pianiste américaine Christine Paraschos, elle a étudié au Conservatoire de Paris (CNSM) dans les classes de Bruno Rigutto et Pierre-Laurent Aimard ; elle y a obtenu les Premiers Prix de piano et musique de chambre et a été admise en 2002 à l'unanimité en Troisième Cycle de piano dans la classe de Jacques Rouvier, remportant à cette occasion le Prix de la Fondation Alfred Reinhold, un piano à queue Blüthner.
Juliana Steinbach a ensuite été l'élève de Franco Scala au sein de l'Académie Internationale de Piano d'Imola (Italie), de Maria João Pires dans sa résidence de Belgais (Portugal) et de Pnina Salzman à Tel-Aviv (Israël). Elle a reçu lors de diverses masterclasses les conseils de Dmitri Bashkirov, Christoph Eschenbach, Emanuel Krasovsky, Alicia de Larrocha. En mai 2007 elle a obtenu le Graduate Diploma de la Juilliard School de New York, après un cycle de perfectionnement effectué auprès du pianiste Joseph Kalichstein et des membres du Juilliard String Quartet.
Lauréate des Fondations Cziffra, Meyer, Natexis Groupe Banques Populaires, Alfred Reinhold et Umberto Micheli, Juliana Steinbach a été récompensée lors de plusieurs concours : le Concours International Artlivre à São Paulo (Brésil, 2001), les Rencontres Internationales de Tel-Hai (Israël, 2000 et 2001) et le Concours International de Jeunes Pianistes à Meknès (Maroc, 1996). En France, elle a reçu le Prix Flame, la Bourse Musicale du Zonta International, le Grand Prix et le Prix Spécial du Forum Musical de Normandie.
Passionnée de musique de chambre, elle a remporté en 2002 le Premier Prix du prestigieux "Premio Vittorio Gui" à Florence (Italie) et en 2005 le Prix Beethoven du Concours International de Musique de Chambre "Trio de Trieste" (Italie). Très intéressée par la musique contemporaine, elle participe régulièrement à diverses créations et a collaboré avec les compositeurs Jean-Louis Agobet, Yves Chauris, Guillaume Connesson, Thierry Escaich, Balázs Horváth, Fabio Nieder, Matan Daniel Porat et François Sarhan. En 2010, le festival Aspects des Musiques d'Aujourd'hui à Caen lui a confié l'exécution de Chryptophonos de Philippe Manoury et des Structures de Pierre Boulez.
Juliana Steinbach se produite en soliste avec divers orchestres : Orchestre Philharmonique de Nice, Orchestre Symphonique et Lyrique de Paris, Orchestre des Lauréats du Conservatoire, Orchestre des Jeunes de Fribourg, le Rundfunk Blasorchester de Leipzig, Orchestre Symphonique Mav de Budapest, Orchestre Symphonique d'Israël, Orchestre Symphonique de la Paraíba (Brésil), collaborant avec des chefs comme Sergio Monterisi, Michael Cousteau, François-Xavier Roth, Théophanis Kapsopoulos, Jan Cober, László Kovács, Mendi Rodan et João Linhares.

En récital ou en musique de chambre, elle se produit à Paris (Auditorium du Louvre, Cité de la Musique, Amphithéâtre Bastille, Opéra Garnier, etc.). Dans diverses séries françaises (Salle Molière à Lyon, Opéra de Nantes), sur de grandes scènes européennes et dans de prestigieux festivals (Périgord Noir en France, Salzburg en Autriche, Bologna Festival et Lago Maggiore en Italie, Santander en Espagne, Farsund en Norvège). Elle a joué dans des salles comme le Museum de Tel-Aviv, le Lincoln Center de New York, le Rozsa Center de Calgary, la Sala Cecilia Mereiles de Rio de Janeiro, le Teatro Colón de Buenos Aires, ainsi que dans plusieurs capitales d'Asie : Séoul, Manille, Bangkok, Hong-Kong et Tokyo (Casals Hall).
Depuis 2005, Juliana Steinbach est la fondatrice et directrice artistique du festival "Musique en Brionnais" qui attire chaque été une audience internationale dans les églises romanes de la Bourgogne du Sud. En 2009/2010, elle s'est vu offrir une carte blanche pour la première "Saison Blüthner" en France, huit concerts de piano et musique de chambre à Paris et Lyon.
En 2011, Juliana s'associe à 2 autres concertistes Sébastien Surel (violoniste) et Sébastien Walnier (violoncelliste), pour former Le Trio Talweg. Ce trio crée un ensemble unique du paysage musical actuel, enrichissant en permanence son terrain de jeu des plus importantes oeuvres du répertoire classique, romantique et contemporain. Leur volonté n'est pas de "réaliser" mais bien de donner une lecture vivante, poétique et intègre de la musique qui les anime. Un disque consacré à Brahms est en préparation pour le label Fondamenta.
Son album "Tableaux", publié par Paraty/Intégral au printemps 2010, réunit des oeuvres pour piano de Debussy (Estampes, L'Isle Joyeuse) et Moussorgski (Tableaux d'une Exposition). Sa discographie comprend également cinq enregistrements de musique de chambre (oeuvres de Schumann, Brahms, Franck, Ravel, Chostakovitch et Messiaen), produits entre 2001 et 2009 en France et en Allemagne. Le 7 Mars 2012 (distribution Distrart Productions) paraît son second album en récital, entièrement consacré à Claude Debussy « Hommages à Debussy » et publié par le label allemand Genuin Classics.

Pour écouter
Claude Debussy
Images série 1
Mouvement
Juliana Steinbach, piano
avec l'aimable autorisation
du label
Genuin classics
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